PELLERIN ( pastel sur papier)

C’est par là ? oui.

LA SIESTE ( pastel sur papier)

Ensuite, il faut que les heures passent…

FONTAINE (pastel sur papier)

Chaud... Froid…

RUELLE AUX DEUX FEMMES (pastel sur papier)

APRES L’ECOLE (pastel sur papier)


Juste avant…

SCENE DE MARCHE (pastel sur papier)

T’en as ? T’en as ? T’en as ?...

CUEILLEURS DE DATTES ( pastel sur papier)

Quand les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne,
Je respire l’odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux,
Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone ;

Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers aux fruits savoureux ;
Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
Et des femmes dont l’œil par la franchise étonne.

Charles Beaudelaire

HAREM (pastel sur bois triptyque)

Si tu reviens, gravis, pour trouver ce hameau,
Ce mont noir qui de loin semble un dos de chameau ;
Pour trouver ma hutte fidèle,
Songe à son toit aigu comme une ruche à miel,
Qu’elle n’a qu’une porte, et qu’elle s’ouvre au ciel
Du côté d’où vient l’hirondelle.

Si tu ne reviens pas, songe un peu quelquefois
Aux filles du désert, soeurs à la douce voix,
Qui dansent pieds nus sur la dune.
O beau jeune homme blanc, bel oiseau passager,
Souviens toi, car peut-être, ô rapide étranger,
Ton souvenir reste à plus d’une !

Victor Hugo

L’HOMME AU THE SOUS LA TENTE ( pastel sur bois)

FEMME ET ENFANT ( pastel sur bois)

Vas comme les pieds nus dans le sable
Qui font des empreintes
Puis font trace,
Puis rien.

HOMME AU THE ( pastel sur bois)

Ici et là ; le sable où l’on ne séjourne pas.
On y passe , on y laisse des traces fragiles ;
Ou c’est le vent.
Aussi le sable n’est-il ni tout ni rien.

L’HOMME AU PAIN ( pastel sur bois)

Parfois le désert de sable, si comparable à la mer,
Ce désert est la plage.
Ça étincelle, ça change indéfiniment.

DEUX HOMMES ET DU THE (pastel sur bois)

Le sable fait du désert une image de l’infini
Telle que les yeux aiment à l’imaginer

HOMME AU LIVRE ( pastel sur bois)
« Il faut lire »
Dany Boon